« Ce soir j’te fait danser J’te jure j’te fait danser J’tai pas oublié C’est juste que ça me hante Que tu me vois étrange Qu’un jour on se réveille Plus jamais pareil Plus Jamais pareil Plus jamais pareil »
D’origine algérienne, Monique est la mère de Saint-Augustin d’Hippone. Fille d’un couple de Chrétiens, elle est très pieuse. Devenue adulte, elle est mariée à un païen nommé Patrice, qui est violent et infidèle.
Grâce à ses prières, elle tente d’obtenir la conversion, mais c’est seulement sur son lit de mort qu’il y consent.
Disciple de Saint-Ambroise de Milan, elle inclut également son fils dans ses prières, afin qu’il s’extirpe de l’hérésie dans laquelle il est engagé (322-387)
Sainte-Monique est la patronne des personnes victimes d’abus, des femmes au foyer, des femmes mariées, des victimes d’adultère et des victimes d’abus de toutes sortes.
Elle est invoquée pour lutter contre les problèmes d’alcool.
Les Trois Clefs – « Ma petite Monique » (1961)
Le Québec d’autrefois – Avec « Les belles de chez nous »,
Les Trois Clefs rendent hommage aux femmes
par des chansons portant des prénoms féminins.
L’avenue Cartier à Québec,charmante, avec ses 35 magnifiques Abat-Jours Géants illuminés. Une collection d’oeuvres d’art de 2 grands artistes.
Le parcours « Lumière sur l’art » met en vedette des oeuvres d’Alfred Pellan et de Fernand Leduc qui appartiennent au Musée national des beaux-arts du Québec.
L’Épiphanie est aussi une ville du Québec située dans la MRC de L’Assomption dans Lanaudière.
Le recensement de 2006 y dénombre 4 606 habitants, 9,5% de plus qu’en 20012.
Ce nom viendrait de la coutume qui voulait que le tenancier des Sulpiciens venait chercher, chaque année, les redevances des censitaires le jour de l’Épiphanie, le 6 janvier.
D’autres prétendent qu’il s’agit de la commémoration de la première messe célébrée à cet endroit, justement un 6 janvier.
En collaboration avec le Festival d’Opéra du Québec, TFO (une station canadienne de langue française éducative et culturelle
de la télévision publique)
fait connaître l’opéra au public en l’invitant à essayer un nouvel instrument interactif,
jamais vu auparavant….
Un clavier géant animé par les pieds…des artistes d’opéra
qui chantent les notes correspondantes
aux diverses touches…
Très haut au-dessus du fleuve Saint-Laurent,
par une chaude journée d’août 1907,
un travailleur du nom de Beauvais pose des rivets
dans la grande travée sud du pont de Québec.
En fin de journée, il remarque qu’un rivet
qu’il a intallé moins d’une heure auparavant
s’est cassé net.
Juste au moment où il hèle son contremaître
pour lui rapporter ce fait inquiétant,…..
Le Québec d’autrefois – (1962) JACK MONOLOY – (Paroles et musique: Gilles Vigneault)
Jack Monoloy aimait une blanche
Jack Monoloy était Indien
Il la voyait tous les dimanches
Mais les parents n’en savaient rien.
REFRAIN: Tous les bouleaux de la rivière Mingan Tous les bouleaux s’en rappellent La Mariouche elle était belle Jack Monoloy était fringant. «Jack Jack Jack Jack» Disaient les canards, les perdrix et les sarcelles «Monoloy» disait le vent La Mariouche est pour un blanc.
Avait écrit au couteau de chasse Le nom de sa belle sur les bouleaux Un jour, on a suivi leur trace On les a vus au bord de l’eau
REFRAIN: Tous les bouleaux de la rivière Mingan Tous les bouleaux s’en rappellent La Mariouche elle était belle Jack Monoloy était fringant. «Jack Jack Jack Jack» Disaient les canards, les perdrix et les sarcelles «Monoloy» disait le vent La Mariouche est pour un blanc.
Jack Monoloy est à sa peine. La Mariouche est au couvent. Et la rivière coule à peine Un peu plus lentement qu’avant.
REFRAIN: Tous les bouleaux de la rivière Mingan Tous les bouleaux s’en rappellent La Mariouche elle était belle Jack Monoloy était fringant. «Jack Jack Jack Jack» Disaient les canards, les perdrix et les sarcelles «Monoloy» disait le vent La Mariouche est pour un blanc.
Jack Monoloy, Dieu ait son âme En plein soleil dimanche matin En canot blanc du haut de la dam Il a sauté dans son destin.
REFRAIN: Tous les bouleaux de la rivière Mingan Tous les bouleaux ont mémoire Et leur écorce est toute noire Depuis que Monoloy a sacré le camp. «Jack Jack Jack Jack» Disaient les canards, les perdrix et les sarcelles «Monoloy» disait le vent La Mariouche est pour un blanc.
La Mariouche est au village Jack Monoloy est au fond de l’eau À voir flotter sur les nuages Et les canots et les billots.
REFRAIN: Tous les bouleaux de la rivière Mingan Tous les bouleaux s’en rappellent La Mariouche elle était belle Jack Monoloy était fringant. «Jack Jack Jack Jack» Disaient les canards, les perdrix et les sarcelles «Monoloy» disait le vent La Mariouche est pour un blanc.
(AFP)
Une jeune femme est décédée en coulant à pic
emportée par le poids de sa robe de mariée
dans les chutes d’une rivière au Québec au Canada,
lors d’une séance de photos, a rapporté aujourd’hui le photographe.
« J’ai essayé de plonger à l’eau pour la tirer. Je courais.
J’appelais à l’aide.
Et on n’a pas été capable de la sauver »,
a expliqué sur Radio-Canada le photographe Louis Pagakis,
visiblement ému, qui avait pris les clichés du mariage le 9 juin dernier.
La veille, pour obtenir des photos « plus artistiques »,
la jeune femme de 30 ans a voulu se rapprocher des chutes Dorwin à Rawdon, au nord-est de Montréal.
Elle souhaitait être immortalisée dans un décor peu conventionnel,
vêtue de sa robe blanche, selon une nouvelle tendance de photographie
nommée « trash the dress » (« détruire sa robe »)
qui vise à obtenir des clichés sur lesquels la mariée se retrouve dans l’eau,
dans la boue ou encore ensablée.
La jeune femme, qui travaillait comme agent immobilier à Laval,
aurait rapidement été en difficulté et a sombré dans les eaux.
Sous le poids de sa robe mouillée,
la victime a coulé à pic à une profondeur de dix mètres,
selon les pompiers.
Elle a été localisée quatre heures après avoir été engloutie
Les chutes Dorwin sont tristement connues
pour être la scène de nombreuses noyades:
en deux ans, trois personnes y sont mortes,
bien que la baignade soit interdite dans ce secteur.