Publié par monett | Filed under SUR CES MOTS ....
Réflexion du jour !
24 mardi Mai 2022
24 mardi Mai 2022
23 lundi Mai 2022
Posted MUSIQUE
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T‘as compris très tôt depuis l’enfance
Que tu portes le maillot de la différence
Même quand tu marches droit
On te montre du doigt
Jamais tu sortiras sans tes papiers sur toi
Tu sais c’que c’est qu’être un bouc émissaire
Parce que ton père est né sur l’autre hémisphère
Toi tu n’les connais pas
Les rues de Kinshasa
On te rabâche pourtant de retourner là-bas
Malgré tout ça, tu crois
Encore en l’être humain
Au verre à moitié plein
Malgré tout ça, tu as
Un sentiment étrange
Peut-être que le monde change
Dans la cour d’école au ballon prisonnier
On te choisissait toujours le dernier
Les histoire se répètent
Et tu ramasses les miettes
Jamais sur un CV t’as pu coller ta tête
Les remarques sournoises, les regards qui blessent
Préjugés qui glacent contre le faciès
Chaque jour à la cafetière
Le racisme ordinaire
Mais les petits ruisseaux font les grandes colères
Malgré tout ça, tu crois
Encore en l’être humain
Au verre à moitié plein
Malgré tout ça, tu as
Un sentiment étrange
Peut-être que le monde change
C’est vrai qu’on la trouvait plutôt jolie
Mais qu’est-ce qui a changé depuis Lili?
Y a encore du boulot
Pour que ta couleur de peau
Se mélange à la mienne comme sur un piano
Mais putain ce serait beau que ta couleur de peau
Se mélange à la mienne comme sur un piano
22 dimanche Mai 2022
Posted ACTUALITES, NATURE, PHOTOS, POEMES
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Coucou !
Le tonnerre est en vacances ?
Il a perdu son jeu de boules ?
Les nuages n’éclatent plus ?
Plus d’eau…
Plus de pluie…
Pour mettre fin
A cette sécheresse
Qui envahit
Notre terre
Qui se craquelle…..
Photo : Simon Garden
Pas une goutte d’eau sous le grand soleil fou
Qui ravage les bois en les poudrant de roux,
Et les fleurs assoiffées ont un teint bien trop pâle.
21 samedi Mai 2022
Posted ART & CULTURE, PHOTOS
in20 vendredi Mai 2022
17 mardi Mai 2022
Posted MUSIQUE
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T’avais mis ta robe légère
Moi, l’échelle contre un cerisier
T’as voulu monter la première
Et après
Y a tant de façons, de manières
De dire les choses sans parler
Et comme tu savais bien le faire
Tu l’as fait
Un sourire, une main tendue
Et par le jeu des transparences ces fruits dans les plis du tissu
Qui balancent
Il ne s’agissait pas de monter bien haut
Mets les pieds sur les premiers barreaux
J’ai senti glisser le manteau
De l’enfance
On n’a rien gravé dans le marbre
Mais j’avoue souvent y penser
Chaque fois que j’entends qu’un arbre
Est tombé
Un arbre, c’est vite fendu, le bois
Quelqu’un a dû le vendre
S’il savait le mal que j’ai eu
À descendre
D’ailleurs en suis-je descendu
De tous ces jeux de transparence, ces fruits dans les plis des tissus
Qui balancent?
J’ai trouvé d’autres choses à faire
Et d’autres sourires à croiser
Mais une aussi belle lumière
Jamais
À la vitesse où le temps passe
Le miracle est que rien n’efface l’essentiel
Tout s’envole en ombre légère, tout sauf
Ce goût de fièvre et de miel
Tout s’est envolé dans l’espace, le sourire, la robe, l’arbre et l’échelle
À la vitesse où le temps passe, rien
Rien n’efface l’essentiel
Dou-dou-dou-dou-dou-dou
Dou-dou-dou-dou-dou-dou
Dou-dou-dou-dou-dou-dou
Dou-dou-dou-dou-dou-dou
J’ai trouvé d’autres choses à faire
Et d’autres sourires à croiser
Mais une si belle lumière
Jamais
Dou-dou-dou-dou-dou-dou
Dou-dou-dou-dou-dou-dou
Dou-dou-dou-dou-dou-dou
Dou-dou-dou-dou-dou-dou
Voilà que, du sol où nous sommes
Nous passons nos vies de mortels
À chercher ces portes qui donnent
Vers le ciel
Voilà que, du sol où nous sommes
Nous passons nos vies de mortels
À chercher ces portes qui donnent
Vers le ciel…..
11 mercredi Mai 2022
Posted MUSIQUE
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Bertrand Belin
J’aime !
10 mardi Mai 2022
Posted MUSIQUE
in10 mardi Mai 2022
08 dimanche Mai 2022
« Et si je me posais un moment par terre
Le temps d’regarder la mer
Et je sentirais le vent dans mes cheveux
Et je fermerais les yeux
Laisser un peu mes quelques soucis derrière
Arrêter de regarder en arrière
Rien que pour moi ce petit instant lumineux
Souffler un peu
Et si je me posais un moment par terre
Le temps d’regarder la mer
Et je sentirais le vent dans mes cheveux
Et je fermerais les yeux
Fermer aussi et d’un bon coup de rideau
Rien que pour moi, me faire ce joli cadeau
Et sans oublier de bien couper le son
Comme c’est bon
Et si je me posais un moment par terre
Le temps d’regarder la mer
Et je sentirais le vent dans mes cheveux
Et je fermerais les yeux »
Me réfugier dans ma petite cabane
Là où je prends le droit de m’mettre sur panne
Et surtout fermer la porte derrière moi
Derrière moi
Et si je me posais un moment par terre
Le temps d’regarder la mer
Et je sentirais le vent dans mes cheveux
Et je fermerais les yeux
Et quand le verre est déjà à moitié vide
C’est pas dur et le calcul est rapide
On peut dire aussi qu’il est à moitié plein
Et c’est pas rien
Et si je me posais un moment par terre
Le temps d’regarder la mer
Et je sentirais le vent dans mes cheveux
Et je fermerais les yeux«