Je connais un peu Lyon puisque j’ai profité de mes missions professionnelles pour visiter cette ville une fois terminé mon travail. J’ai beaucoup aimé ce que j’ai vu, ai découvert ce que les lyonnais appellent des traboules.
Grâce un à un confrère qui était originaire de Lyon, j’ai pu manger dans un vrai bouchon lyonnais nommé la Tête de Lard. Il ne payait pas de mine d’extérieur, se trouvait dans une ruelle au bas de la croix rousse et j’avoue que moi, le gourmet, je m’y suis régalé.
Je suis retourné à Lyon pour assister la Fête des Lumières, à cette époque où toute la ville n’était pas autant illuminée et que ce n’était pas devenue une attraction tourististique.
J’ai trouvé jolies ces rues illuminées discrètement et ces lumignons mis aux fenêtres par les habitants. Je pense que j’y retournerai pour continuer de découvrir cette ville.
Je connais un peu Lyon puisque j’ai profité de mes missions professionnelles pour visiter cette ville une fois terminé mon travail. J’ai beaucoup aimé ce que j’ai vu, ai découvert ce que les lyonnais appellent des traboules.
Grâce un à un confrère qui était originaire de Lyon, j’ai pu manger dans un vrai bouchon lyonnais nommé la Tête de Lard. Il ne payait pas de mine d’extérieur, se trouvait dans une ruelle au bas de la croix rousse et j’avoue que moi, le gourmet, je m’y suis régalé.
Je suis retourné à Lyon pour assister la Fête des Lumières, à cette époque où toute la ville n’était pas autant illuminée et que ce n’était pas devenue une attraction tourististique.
J’ai trouvé jolies ces rues illuminées discrètement et ces lumignons mis aux fenêtres par les habitants. Je pense que j’y retournerai pour continuer de découvrir cette ville.
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