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Lavez-vous les mains !
Il faudra du temps !
Voilà une situation compliquée et difficile à résoudre.
Il n’est pas encore « sorti de l’auberge ! »
Deux origines se partagent cette expression.
La première fait allusion au cas de « l’auberge rouge »
survenue au début du XIXe siècle :
de nombreux clients d’une auberge de Peyrebeille
auraient été assassinés par les aubergistes
(d’où la difficulté d’en sortir !).
Ca fait froid dans le dos !
Feuilles de Choux 
Bonjour Monett, j’en ai sauvé un de la noyade , il n’y a pas longtemps. Bisous et bon après-midi MTH
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😀😂
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Beau partage. Bonne journée
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L’histoire de l’Auberge rouge est une légende basée sur le fait que des ragots ont été colportés contre les propriétaires par un concurrent qui enviait leur place. L’origine vient en fait du mot argotique « auberge » qui signifie prison.
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D’après la psycho criminologue Michèle Agrapart-Delmas, cette histoire n’est que de la littérature, des on-dit, des rumeurs. En réalité, il y eut bien la mort d’un client nommé Enjolras, qui habitait la Haute-Loire, un homme dont le corps fut retrouvé quatorze jours après sa disparition, sur les bords de l’Allier.
Un témoin a affirmé avoir vu les aubergistes et leur domestique transporter sur un cheval le corps d’un homme. Et deux autres ont déclaré avoir assisté de plus ou moins loin au meurtre. Pourtant, rien n’a prouvé réellement qu’il ait été assassiné à l’auberge. La psychocriminologue rappelle que le quotidien de l’époque « Le Petit Journal » précise en particulier la « faiblesse de ces dépositions, qui venaient se heurter, d’ailleurs, aux dénégations formelles des trois accusés »
Un avocat qui a travaillé sur cette affaire explique qu’en fait Enjolras, un homme âgé de 72 ans, a dû succomber à des libations excessives, ou de toute autre cause. Comme il craignait les remontrances de la famille, qui aurait pu reprocher à Martin de l’avoir laissé trop boire, de l’avoir mal soigné, l’aubergiste a pris peur et il a jeté le cadavre dans l’Allier pour faire croire à un accident.
Le Petit Journal précise qu’à cette époque, la terreur régnait sur tout ce pays des Cévennes, une région infestée de voleurs de grands chemins et pour ne rien arranger, les zones rurales étaient particulièrement isolées.
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Voilà qui complète efficacement mon billet… Merci Trigwen pour cette recherche
Complémentaire…. Me voilà sortie de l’auberge ! 😀👍
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