Ne me dites pas qu’à peine éclose La fleur de l’âge se flétrit Je vis avec ce genre de rose Au parfum tout juste fleuri Le temps qu’il a mis à figer Sur son regard quelques ridules D’autres ont tenté de les cacher En maquillage ridicule Bien sûr la jeunesse suppose Quelques atouts innocents Qui font que le regard qu’on pose Sur elle semble vite indécent
La facilité qu’une jupe A de se lever me ravit Mais voilà je ne suis pas dupe De ces fausses facéties
Ne cherche pas à vouloir Arrêter le temps J’aime la beauté dont il te pare Et dont je suis l’amant Ne cherche pas à vouloir Arrêter le temps J’aime la beauté dont il te pare Mmmh
Les filles de papier glacé A peine au sortir de l’enfance Viennent tout juste éveiller Le plus sensible de mes sens
Bonjour Monett comme c’est bien dit, bien écrit. bisous et bonne journée MTH
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