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«Le Poilu chante pour ne pas penser à son sort,
ne pas penser aux champs de massacre et de douleurs»,
écrit le soldat Claude Parron dans son carnet de guerre de l’année 1915.
Avant la Première Guerre mondiale,
les chansons sont devenues le moyen d’expression le plus populaire,
sortant des cabarets et des cafés-concerts.
Pendant la guerre, des milliers de chansons continuent d’être créées.
Parfois par des vedettes de la musique.
Mais, bien souvent, ce sont les soldats eux-mêmes
qui reprennent et adaptent des refrains en vogue.
À la fin de la guerre,
un Français sur trois entre 18 et 27 ans est mort.
S’ajoutent les gueules cassées, les veuves, les orphelins.
La chanson se doit de jouer des airs de réconfort.
je suis passionnée de genealogie , et j’ai retrouvé les feuillesmilitaires de certains de mes ancêtres ! c est affreux, j’ai un ancetre qui a eu les pieds gelés dans les tranchées, un autre médaillé vaillant combattant, mais bon, quelle guerre ! et encore que d’autres s’en suivent ! Mon Dieu que le monde est laid et pourtant si beau,on gache tout à se battre;
la chanson numéro 2 est un témoignage ! en plus c’était aussi des jeunes qui partaient, la chair à canon !
bon je suis triste,
je remercie tout ces combattants courageux, ses mamans qui ont perdu leur enfants, leur mari, leur fils , leur freres leurs amis , et la musique avec la cornemuse, cela sert le coeur,
c est bien d avoir fait un billet,
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Si triste la guerre avec toutes ses conséqences, hélas !
Quel bel hommage, Monett !!!
Douce nuit reposante,
Amiitiés♥
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Bravo Monett pour ce bel hommage, mon grand-père maternel a été dans les tranchées, il en réchappé mais complètement « endommagé » moralement, il ne pouvait oublier. Bisous et bon après-midi MTH
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Merci Monett – ces jours de souvenir me bouleversent … Bises et amitiés
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La chanson de Craonne est la plus poignante
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Bel hommage Monett 🙂
Aaah les chansons réalistes comme on les appelait.
et la fameuse Madelon qui réconfortait ces pauv’ bougres !
Bises
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Merci ! 💓
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