Est-ce que le temps est beau ? Se demandait l’escargot Car, pour moi, s’il faisait beau C’est qu’il ferait vilain temps. J’aime qu’il tombe de l’eau, Voilà mon tempérament.
Combien de gens, et sans coquille, N’aiment pas que le soleil brille. Il est caché ? Il reviendra ! L’escargot ? On le mangera.
« D’où vient ce vertige ? En l’an 3000 et des poussières On s’arrache de la terre Dans les vapeurs cosmiques A la soute les ombres malsaines A la proue notre vierge noire et querelleuse Brutale et païenne Ouvre la voie des cieux intergalactiques 00 zen
Explorons les sources divines De notre moi profond Allons chasser les perles les trésors enfouis De nos presqu’iles Rêvons glorieusement en samadhi Soleil des anges qui nous murmurent Dans le silence 00 zen »
To be or not to be It doesn’t matter You are the universe , now ! Now ! 00 zen
A fond de cale Hissez les voiles Embarquez pour les contrées lointaines Que l’amour soit notre emblème Et la terre notre signe 00 zen
To be or not to be It doesn’t matter You are the universe , now ! Now ! 00 zen
La fin du week-end certes, mais il y en aura d’autres !
cette expression très connue semble dater du Moyen Âge, elle est pourtant plus récente puisqu’elle est apparue au XXe siècle.
La référence la plus ancienne serait celle des marins, qui, au XVIIIe siècle, avaient défini une gestion des vivres par ordre de péremption. Ainsi, il convenait de manger en premier les animaux vivants et produits frais, puis les biscuits secs, les produits salés ou fumés et enfin les jambons et haricots. Ces derniers servis, c’était là le signal que l’équipage du navire ne pourrait plus survivre. Plus rien à manger !
Une autre hypothèse explique que, dans les internats, les élèves étaient nourris en fonction des ressources. Donc si celles ci étaient nulles. Les haricots n’étant pas très onéreux les internes étaient nourris essentiellement de ces légumes.
En fait, cette expression trouve son origine dans les jeux de société pratiqués en famille au début du XXe siècle. On ne jouait pas d’argent mais des haricots secs. La fin des haricots signifiait donc la fin de la partie.
Only you can do make this world seem right Tu es la seule qui puisse faire que ce monde semble normal Only you can do make the darkness bright Tu es la seule qui puisse faire jaillir la lumière de l’obscurité Only you and you alone Toi seule et seulement toi Can thrill me like you do Peux me faire frémir comme tu le fais And fill my heart with love for only you Et remplir mon cœur d’amour rien que pour toi
Only you can do make all this change in me Tu es la seule qui puisse opérer tout ce changement en moi For it’s true, you are my destiny Car c’est vrai tu es ma destinée When you hold my hand Quand tu tiens ma main I understand the magic that you do Je comprends la magie que tu crées
You’re my dream come true Tu es mon rêve accompli My one and only you Ma seule et unique toi
You’re my dream come true Tu es mon rêve réalisé My one and only you Ma seule et unique toi One and only you Seule et unique toi
Ma femme me soule elle fait la gueule Mais je l’avoue je la laisse jamais seule
Ça fait quasi vingt ans que je purge ma peine Vingt ans qu’elle me soule autant que je l’aime
Vingt ans qu’elle dit sans cesse de ne voir que moi Que je la délaisse que je la déçois Ça fait quasi vingt ans qu’elle dit qu’elle partira Faut croire que ma princesse n’est pas si percée que ça Elle a l’âme de la jeunesse faut la suivre parfois Il y a chez elle ce qui manque à moi
Ma femme me soule elle fait la gueule Mais je l’avoue je la laisse jamais seule Ma femme me soule elle fait la gueule Mais je l’avoue sans elle je serai si seul
Ça fait quasi vingt ans qu’elle et moi on se traine Je suis là pas souvent c’est peut être ça qu’elle aime Pourquoi ça dure autant ça doit [??] ma bohème Il y a en moi ce qui a pas chez elle
Ma femme me soule elle fait la gueule Mais je l’avoue je la laisse jamais seule Ma femme me soule elle fait la gueule Mais je l’avoue sans elle je serai si seul
Avec son rêve d’ange, sous sa frange Elle sait me plaire Sous son rêve d’ange, sa petite frange Elle me met l’enfer
Ma femme me soule elle fait la gueule Mais je l’avoue je la laisse jamais seule Ma femme me soule elle fait la gueule Mais je l’avoue sans elle je serai si seul
Ma femme me soule Ma femme me soule Mais j’peux pas vivre sans elle
« On dit qu’avant d’entrer dans la mer, une rivière tremble de peur. Elle regarde en arrière le chemin qu’elle a parcouru, depuis les sommets, les montagnes, la longue route sinueuse qui traverse des forêts et des villages, et voit devant elle un océan si vaste qu’y pénétrer ne parait rien d’autre que devoir disparaître à jamais. Mais il n’y a pas d’autre moyen. La rivière ne peut pas revenir en arrière. Personne ne peut revenir en arrière. Revenir en arrière est impossible dans l’existence. La rivière a besoin de prendre le risque et d’entrer dans l’océan. Ce n’est qu’en entrant dans l’océan que la peur disparaîtra, parce que c’est alors seulement que la rivière saura qu’il ne s’agit pas de disparaître dans l’océan, mais de devenir océan. »