Chanson inédite : à l’occasion du confinement,
Pierre Perret a sorti sa plume de poète
et créé cette pépite : Les confinis !!
Il la chantera lors de la nouvelle tournée
« Mes adieux provisoires », à Pleyel
« Comment aider ces pauvres gens qui agonisent
Qui attendaient qu’on leur vienne à la rescousse
Pendant qu’les infirmières mouillaient la ch’mise
Qu’les infirmiers faisaient suer l’burnous
Pendant qu’ils couraient tous dans la panade
Dans les couloirs encombrés d’macchabées
Les cherchez pas pour soigner les malades
Tous les docteurs étaient à la télé… » Pierre Perret
S’il est un chanteur dont je possède l’intégrale, c’est bien Pierre Perret, ce poète qui est surtout, contrairement à ce qu’on pourrait croire, un rand défenseur de notre langue et un immense poète.
J’aime cet auteur-compositeur-interprète qui peut chanter de la vraie poésie, des chansons paillardes, des chansons sur des faits de société ou engagées, des chansons avec des mots et expressions qu’il invente et qui font tant rire tant ils sont imagés et amusants.
J’ai découvert ce chanteur grâce à un de mes oncles alors étudiant en médecine, qui me faisait écouter ses chansons osées ou amusantes comme « au tord boyaux, le Bonheur conjugal, la Famille… sauf moi et ce au grand dam de ma mère.
Tout ce vocabulaire, cette façon de construire ces vers, il les doit sans doute à l’admiration qu’il avait pour Paul Léautaud qu’il a fréquenté jusqu’à la mort de celui-ci.
S’il est un chanteur dont je possède l’intégrale, c’est bien Pierre Perret, ce poète qui est surtout, contrairement à ce qu’on pourrait croire, un rand défenseur de notre langue et un immense poète.
J’aime cet auteur-compositeur-interprète qui peut chanter de la vraie poésie, des chansons paillardes, des chansons sur des faits de société ou engagées, des chansons avec des mots et expressions qu’il invente et qui font tant rire tant ils sont imagés et amusants.
J’ai découvert ce chanteur grâce à un de mes oncles alors étudiant en médecine, qui me faisait écouter ses chansons osées ou amusantes comme « au tord boyaux, le Bonheur conjugal, la Famille… sauf moi et ce au grand dam de ma mère.
Tout ce vocabulaire, cette façon de construire ces vers, il les doit sans doute à l’admiration qu’il avait pour Paul Léautaud qu’il a fréquenté jusqu’à la mort de celui-ci.
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Il chante avec son habituel humour, qui cependant raconte si bien la vérité.
Merci pour ce partage et bonne soirée Monett.
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