Teddy prend son rôle de Père Noël secret très au sérieux. Il est entré dans la maison par la cheminée pour apporter des cadeaux au chat de Simon et à son chaton. Mais ça reste un chat, et il parvient à semer le chaos, tout en laissant de nombreuses preuves du passage du Père Noël….
On s’aime et c’est difficile On s’attache avec des fils Des serments d’amour inutilement On s’aime et c’est tellement dur On s’crie dessus, on s’griffe la figure On se regarde toujours si durement
Dis-moi que tu les abandonnes Ces baisers, ces tourments Donnés par les autres personnes Avant J’en ai des mots d’amour qui sonnent Mais maladivement Cachés comme chez les autres hommes Dedans
On s’aime et la vie veut qu’on joue Des rôles qui nous coulent sur les joues Comme deux capricieux, capricieusement Jaloux de la pluie qui touche tes cheveux Jalouse des choses que voient tes yeux On se regarde toujours jalousement
Dis-moi que tu les abandonnes Ces baisers, ces tourments Donnés par les autres personnes Avant J’en ai des mots d’amour qui sonnent Mais maladivement Cachés, comme chez les autres hommes Dedans
Un jour on va partir dans l’air Et la vie sera Passée tout contre toi J’espère…..
Eugène Atget était un pionnier français de la photographie de rue, commentant l’architecture et les scènes de rue de Paris au début des années 1900.
L’auteur de cette vidéo, fasciné par Paris, a recherché ses quartiers restés inchangés, en utilisant comme référence un livre de photographies d’Atget.
« Un petit poisson, un petit oiseau S’aimaient d’amour tendre Mais comment s’y prendre Quand on est dans l’eau
Un petit poisson, un petit oiseau S’aimaient d’amour tendre Mais comment s’y prendre Quand on est là-haut »
Clic pour agrandir la photo trouvée sur le Net
« Quand on est dans l’eau On veut que vienne l’orage Qui apporterait du ciel Bien plus qu’un message Qui pourrait d’un coup Changer au cours du voyage Des plumes en écailles Des ailes en chandail Des algues en paille »
« La vie est fragile On danse sur un fil Quand l’âme vacille Dis, est-ce que ça vaut le coup de se relever? Si l’évidence après tout c’est de se laisser tomber Oui, ta différence est belle Et la beauté s’y révèle Je te prête le bleu du ciel, un peu de rose pour la vie Et tu colores de pastel les étoiles gauches de nos nuits Leurs lueurs te sont fidèles Je le lis dans tes prunelles Comme toi, je sais que La vie est fragile On danse sur un fil On erre à l’air libre On cherche un équilibre Et tu choisis les couleurs à mettre dans nos sillons Quand tu dessines le bonheur, tu luttes avec tes crayons Toutes les peintures t’émerveillent C’est vrai qu’elles te donnent des ailes…
« Un jour tu dictes nos pas L’autre tu redores le monde Et quand tu souris, p’tit gars Toutes les barrières s’effondrent Toi, dont les mots me surprennent Sais-tu, oh, combien je t’aime? Comme toi, je sais que La vie est fragile On danse sur un fil On erre à l’air libre On cherche un équilibre La vie est fragile On danse sur un fil Quand l’âme vacille On peut perdre l’équilibre Et comme un courant d’air Tu te laisses porter L’espoir en bandoulière Tu voyages léger Mon extraordinaire, vivre à tes côtés C’est changer de repères, c’est réinventer La vie est fragile On danse sur un fil Quand l’âme vacille On peut perdre l’équilibre La vie est fragile On danse sur un fil On erre à l’air libre On cherche un équilibre La vie est fragile On danse sur un fil Quand l’âme vacille On peut perdre l’équilibre La vie est fragile On danse sur un fil Quand l’âme vacille On cherche un équilibre La vie est fragile On danse sur un fil Quand l’âme vacille On peut perdre l’équilibre… »
Abderhamane, Martin, David Et si le ciel était vide Tant de processions, tant de têtes inclinées Tant de capuchons tant de peur souhaitées Tant de démagogues de Temples de Synagogues Tant de mains pressées, de prières empressées Tant d’angélus Ding Qui résonne Et si en plus Ding Y’a personne….
Abderhamane, Martin, David Et si le ciel était vide Il y a tant de torpeurs De musiques antalgiques Tant d’anti-douleurs dans ces jolis cantiques Il y a tant de questions et tant de mystères Tant de compassions et tant de révolvers Tant d’angélus Ding Qui résonne Et si en plus Ding Y’a personne….
Arour hachem, Inch Allah Are Krishhna, Alléluia Abderhamane, Martin, David Et si le ciel était vide Si toutes les balles traçantes Toutes les armes de poing Toutes les femmes ignorantes Ces enfants orphelins Si ces vies qui chavirent Ces yeux mouillés Ce n’était que le vieux plaisir De zigouiller Et l’angélus Ding Qui résonne Et si en plus Ding Y’a personne…..
Oh libellules si délicates Oh les mésanges petites pattes Gentil coquelicot pardon chardon Et le noble ver de terre pardon Le jour se rêve dans l’aubépine Les enfants
Terre jolie terre notre mère volante Avec nous dans le ciel et les étoiles filantes Pardon !
« T’as dit au revoir au Bangladesh À ta p’tite femme, tes trois enfants Et dans la soute d’un bateau de pêche T’es parti rejoindre l’Occident T’imaginais qu’en venant ici T’allais la peindre ta vie en rose Mais Paris c’est pas le paradis Et dans ton quotidien morose Tu vends des roses….. »