Au p’tit matin
30 samedi Août 2025
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30 samedi Août 2025
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11 dimanche Mai 2025
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09 vendredi Mai 2025
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Un «camion» au début du XXe siècle,
désignait le seau
où le peintre en bâtiment
délayait ses peintures,
pour parfaire ses préparations
avant de les appliquer sur la surface
L’expression renvoie à la confection
d’un mélange esthétique de couleurs,
à l’effet éclatant et éblouissant…
C’est au milieu du XXe siècle
que l’expression commence à apparaître.
A la base, on part d’une ironie
car peu de monde trouve un camion
joli ou beau.
Mais cette expression veut bien dire
gracieux et beau.
Donc, dans ce même sens,
on utilise le mot camion
pour amplifier, pour grossir
l’importance de l’adjectif « beau ».
En ce moment, beaucoup de rues de ma ville
sont en travaux.
Donc circulation très difficile.
Chantiers, engins, camions de toutes sortes
envahissent le passage.
La photo prise récemment dans mon quartier
résume bien cette expression
« t’es belle comme un camion » !

Clic pour agrandir….
04 dimanche Mai 2025
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28 lundi Avr 2025
04 vendredi Avr 2025
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acrostiche, Lyon, matin, paysage, photos
28 vendredi Mar 2025
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02 dimanche Mar 2025
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09 dimanche Fév 2025
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« Ouvre ton aile au vent, mon beau ramier sauvage,
Laisse à mes doigts brisés ton anneau d’esclavage !
Tu n’as que trop pleuré ton élément, l’amour ;
Sois heureux comme lui : sauve-toi sans retour !
Que tu montes la nue, ou que tu rases l’onde,
Souviens-toi de l’esclave en traversant le monde :
L’esclave t’affranchit pour te rendre à l’amour ;
Quitte-moi comme lui : sauve-toi sans retour ! »

Vieux LYON – photo du 08/02/2025 – clic pour agrandir –
07 vendredi Fév 2025
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Thomas Fersen

Photo Lyon – Janvier 2025 – clic pour agrandir –
« Depuis ton départ, Lyon est une gare et moi je suis resté lyonnais.
Tu es sur la ligne, moi à la consigne avec mes pièces de monnaie.
Et les tours d’horloge me serrent la gorge.
Chaque seconde me tue.
Sait-on où tu loges ? Quand reviendras-tu ?
Comme ces questions sont pointues.
Et le long du Rhône, c’est pour ton fantôme que je laisse pendre ma main.
Maudissant ton nom car, du cabanon, tu me fais prendre le chemin.
Et les tours d’horloge me serrent la gorge.
Chaque seconde me tue.
Sait-on où tu loges ? Quand reviendras-tu ?
Comme ces questions sont pointues, comme ces questions sont pointues.
Et puis tu reviens dans mon quotidien, j’apprends par le carnet du jour
Qu’aujourd’hui les cloches célèbrent tes noces avec un autre, mon amour.
Et les tours d’horloge me serrent la gorge.
Chaque seconde me tue.
Sait-on où tu loges ? Quand reviendras-tu ?
Diable ces questions sont pointues.
Quand d’autres rencontres dérèglent ma montre, alors je connais le repos
Mais à chaque fois que j’ai vent de toi, je cavale après mon chapeau.
Et les tours d’horloge me serrent la gorge.
Chaque seconde me tue.
Sait-on où tu loges ? Quand reviendras-tu ?
Comme ces questions sont pointues, comme ces questions sont pointues.«