Ce changement d’heure perturbe… Même les chaussettes font des siennes !
Faire des siennes La signification de cette expression est restée la même depuis le XVIIIe siècle ! Saint-Simon et Voltaire furent les premiers à la coucher sur papier bien qu’on suppose que sa trace orale puisse être remontée jusqu’au début de la Renaissance, au XVe. Elle viendrait d’une expression populaire « faire des farces siennes » désignant la conduite anormale d’un individu.
Danse tant que tu peux danser Danse autour de la terre Libre comme un poisson dans l’eau Comme un oiseau dans l’air
Léger comme le vent qui danse dans les arbres Ou le mât d’un bateau qui danse sous la vague
Danse tant que tu peux danser Sur les pavés sur l’herbe Sur une table de bistrot À l’ombre des tavernes…
Viens laisse-toi porter par toutes les musiques Qui sortent d’un piano ou d’un vieux tourne-disque
Danse tant que tu peux danser Danse autour de la terre Danse dans les bras de Margot Ou Julie de Nanterre
Danse pour retrouver l’amour et la folie Danse pour éblouir ton âme qui s’ennuie
Danse tant que tu peux danser Danse autour de la terre Danse pour qu’un printemps nouveau Balaye les hivers
Et tu verras jaillir les sources souterraines Et les torrents de joie qui coulent dans tes veines Danse tant que tu peux danser Danse autour de la terre
Pour ne plus porter sur ton dos La mort et la misère Danse comme l’on vit danse comme l’on aime Danse comme on écrit sur les murs un poème
Danse tant que tu peux danser Danse autour de la terre Danse tant que tu peux danser Viens le bal est ouvert…..
« Je m’appuierai si bien et si fort à la vie, D’une si rude étreinte et d’un tel serrement Qu’avant que la douceur du jour me soit ravie Elle s’échauffera de mon enlacement.
La mer, abondamment sur le monde étalée, Gardera dans la route errante de son eau Le goût de ma douleur qui est âcre et salée Et sur les jours mouvants roule comme un bateau.
Je laisserai de moi dans le pli des collines La chaleur de mes yeux qui les ont vu fleurir Et la cigale assise aux branches de l’épine Fera crier le cri strident de mon désir.
Dans les champs printaniers la verdure nouvelle Et le gazon touffu sur les bords des fossés Sentiront palpiter et fuir comme des ailes Les ombres de mes mains qui les ont tant pressés.
La nature qui fut ma joie et mon domaine Respirera dans l’air ma persistante odeur Et sur l’abattement de la tristesse humaine Je laisserai la forme unique de mon cœur. »
“Les pâtes alimentaires aujourd’hui se vantent sur le premier mouvement de la symphonie n°25 de Mozart. C’est le mouvement allegro con brio. Mozart s’excuse, il n’avait pas pensé à composer un allegro al dente.”Philippe Meyer.