C’est une histoire rapportée par le journal belge
La Province: (clic)
Une veuve, sept mois après le suicide de son mari, en janvier 2013,
a reçu un courrier l’invitant à contacter le service d’accueil des victimes
à propos « d’objets saisis par les autorités judiciaires »
On lui a carrément proposé de récupérer la corde avec laquelle son mari s’est pendu !
Une démarche qui peut paraître indélicate mais qui résulte d’une loi
datant de 1998.
La procédure légale a été respectée.
De son côté, Christian Henry, procureur du Roi de Mons,
a rappelé que la justice ne pouvait pas se mettre à la place des victimes
et prendre une décision sans leur demander leur avis.
Je devine le bouleversement de cette dame !