Entre deux immeubles…
Photo – Lyon (03)
Je respire… mieux…😃

30 lundi Juin 2025
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28 samedi Juin 2025
Posted in CHANSONS ANCIENNES, MUSIQUE
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Ne nous laissons pas abattre ! ! !
Luis Mariano 🎶🎵🎶🎵
27 vendredi Juin 2025
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🎵🎶🎵🎶🎶
26 jeudi Juin 2025
Posted in C'EST DANS L'AIR, HUMOUR
25 mercredi Juin 2025
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ZAZ – Cerca de Ti (Mon amour)
25 mercredi Juin 2025
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18 mercredi Juin 2025
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15 dimanche Juin 2025
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Lyon – Saint-Jean – photo Janvier 2025 –
« Marbres et faïences
Au pied d’une église
L’horrible silence
Des larmes et du lice
Soudain il commence
Cet homme en costume
Quelques pas de danse
À titre posthume
La vie se rallume
Il tourne, il tourne et il danse
Sur les pavés du parvis
Dans ses bras il tient l’absence
Son bel amour qu’on a ravi
Il tourne, il tourne et il danse
Et c’est encore de la vie
Ayant parfois l’élégance
De tournoyer sur les parvis
Alors lentement, d’autres l’accompagnent
Il tient comme avant, l’absente compagne
Dans ses mouvements, tous deux se rejoignent
L’espace d’un instant, c’est la vie qui gagne
C’est la vie qui gagne
Il tourne, il tourne et il danse
Sur les pavés du parvis
Dans ses bras il tient l’absence
Son bel amour qu’on a ravi
Il tourne, il tourne et il danse
Et c’est encore de la vie
Ayant parfois l’élégance
De tournoyer sur les parvis
Il tourne, il tourne et il danse
Sur les pavés du parvis
Dans ses bras il tient l’absence
Son bel amour qu’on a ravi
Il tourne, il tourne et il danse
Et c’est encore de la vie
Ayant parfois l’élégance
De tournoyer sur les parvis
Il tourne, il tourne et il danse
Et c’est encore de la vie
Ayant parfois l’élégance
De tournoyer sur les parvis »
13 vendredi Juin 2025
Posted in CHANSONS ANCIENNES, MUSIQUE
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André Claveau – 1950 –
13 vendredi Juin 2025
L’évolution d’une fraise…..

« Et oui ! Je le sais bien !
Je n’emporterai rien,
Pas même l’ombre d’un nuage.
Mais qu’elle est belle, dans ma main,
Cette fraise sauvage ! »
Maurice Carême

« Les fraises sur le plat de blanche porcelaine
gardent la fraîche odeur de l’aube sur la plaine,
des branches, de la mousse et des sources glacées.
Sur la nappe j’ai mis ton bouquet de pensées
et tandis que les yeux pensifs tu te recueilles,
ce soir grave, je vois glisser entre les feuilles
la lune comme dans les vieilles élégies.
Un souffle tiède et pur caresse les bougies
et berce la glycine et les roses blafardes
et la tonnelle. Prends des fraises. Tu regardes
au champagne doré le sucre se dissoudre ;
le temps sur nos cheveux verse du sucre en poudre
et j’aurai quelque jour de larges mèches blanches.
Mais qu’importe ! ce soir vers moi si tu te penches
sans crainte de l’automne et des feuilles rougies
et si pour mes baisers tu souffles les bougies. »

Quand vous sucrerez…. les fraises…..

Même celles là je les adore !


